Vernissage expo Lumières du Congo

Exposition – Lectures – Performances – Table ronde dansée

Samedi 1er Février 2025 à 19h00 – Entrée libre
Maison de la Conversation, Paris (18e)

Samedi 1er Février 2025, DAYMA vous invite au vernissage de l’exposition Lumières du Congo et au lancement du recueil d’Alexia Traore Dis à ton silence que je l’aime aussi qui parait aux éditions La Kainfristanaise.

Lumières du Congo rassemble les photographies de danse réalisées par Alexia Traore à Brazzaville et Kinshasa de 2022 à 2024, et exposées à Brazzaville dans différents lieux culturels : Centre d’Art Diangouaya, ENCRED, Espace Culturel Les Lucioles, Centre de la Photographie ClassPro_Culture, Institut Français du Congo.
L’exposition est présentée pour la première fois à Paris à la Maison de la Conversation, 12 rue Maurice Grimaud 75018 Paris, du 1er au 28 Février 2025.
Ces photographies évoquent, à travers des portraits intimistes d’artistes, le bouillonnement créatif de la scène culturelle Congolaise où rayonnent en harmonie danses traditionnelles et expressions contemporaines. Elles rendent hommage au talent et à la résilience de femmes et d’hommes qui créent quelles que soient les difficultés et défis du quotidien.

Le vernissage de l’exposition associera lectures, table ronde dansée avec le Collectif Musiques et Danses du Monde en Île-de-France, séance de signatures et escales musicales. 

 

Le programme
19h : Ouverture du vernissage
19h30 : La Kainfristanaise / Alexia Traore / Artistes invités
20h30 : Table ronde performative
21h30 : La Kainfristanaise / Alexia Traore / Artistes invités
Mur d'expression libre

Infos pratiques

MAISON DE LA CONVERSATION – 12 rue Maurice Grimaud 75018 Paris
Métro : 124T3B
Bus : 3160808540
Entrée Libre

Alexia Traore est danseuse, plasticienne et auteure.
Les différentes formes de son écriture, de la chorégraphie à la poésie, questionnent le corps, la relation à l’Autre, la mémoire intime et collective, et l’être féminin. Elle explore la construction de l’identité humaine en une polyphonie visuelle et corporelle. Ses performances inclassables, passerelles entre plusieurs cultures où la poésie est au cœur de la danse, sont lauréates de plusieurs organismes :Chantiers de Babel (2019) Tremplin Jeunes Talents Contemporains (2020).

La Kainfristanaise est une maison d’édition ouverte au monde et sur le monde, un espace de création du divers, mêlant les voix pour ouvrir de nouvelles voies et de la sorte rendre féconde en humanité la rencontre entre soi-même et l’autre.

La Kainfristanaise veille à :

  • Donner une voix aux littératures minorées (écriture postcoloniale, littérature de banlieue, régionale littérature étrangère d’expression française).
  • Donner une voix aux littératures du voyage et aux « nature writing », en particulier les écritures féminines qui portent une expérience inspirante.
  • Rendre accessibles, les littératures des mondes anglophones, lusophones, hispanophones qui mettent en débat les cultures du centre et de la périphérie, la métropole et l’empire.
  • Rendre la littérature accessible aux publics éloignés du livre.

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