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I.FOLIA

En une formation intimiste (voix, clarinette, cordes et percussions), les 4 "écureuils" d'I.FOLIA inventent une musique nomade qui tour à tour convoque les larmes, la joie ou la danse, évoque l’ivresse ou invite au voyage …
Jour après nuit, chacun ramène au nid ses trouvailles, glanées au cours de balades improvisées entre Macédoine et Asie Mineure ; alternant entre onirisme, harmonies cristallines, rythmes fous invitant à la danse ou plaintes déchirantes évoquant les bas-fonds des tavernes grecques, I.FOLIA vous emportera.

Percussion solo

TALAM!

Solo de Percussions Carnatique

Mridangam & Konnakol

Plongez au cœur de la musique savante de l'Inde du Sud et Sri Lanka avec un concert exceptionnel de percussions carnatique, mettant à l'honneur le mridangam, l'un des instruments les plus emblématiques de cette tradition, ainsi que le konnakol, l'art de la percussion vocale.

Le mridangam, percussion au son profond et expressif, est l’instrument principal dans la accompagnement de musique carnatique , et aujourd'hui élevé au rang d' instrument soliste par des artistes comme Balakumar.

Le konnakol est l'art de la percussion vocale, qui accroît notre perception du temps, et permet de mémoriser des phrases rythmiques d'une haute complexité, la voix devient un instrument rythmique d’une étonnante précision, rapidité et de créativité!

Pour compléter la palette sonore , Balakumar nous présente le morsing ( guimbarde ) et ainsi que le kanjira (tambourin)

Ce concert solo vous invite à découvrir la richesse des “talam” rythmes complexes qui forment le langage rythmique unique de la musique carnatique. Grâce à l'interaction entre les différents instruments et la voix, l'artiste vous transporte dans un univers où chaque battement résonne avec puissance et émotion.

Que vous soyez un passionné de musique indienne ou un amateur de musique du monde, ce spectacle promet une immersion inoubliable dans l’univers fascinant de la percussion carnatique.

Accompagné par un mélodiste et un autre percussionniste

Solo live Bruxelles
https://youtu.be/J0vo2e3TEPM
Mridangam and tabla
https://www.youtube.com/watch?v=Mf5cPzlNa78&pp=ygUWYmFsYWt1bWFyIHBhcmFtYWxpbmdhbQ%3D%3D

https://youtu.be/dwOqXnnwlUk

Solo 3 1/2

MONTEVERGINE CONNECTION

Création et direction musicale Anna Andreotti,

Un voyage à la redécouverte de la femme dans son identité culturelle profonde avec comme vaisseau les chants de la tradition orale italienne.

Avec Anna Andreotti (chant et accordéon), Roberto Graiff (chant), Angela Macciocchi (chant),Francesca Perugini (chant), Margherita Trefoloni (chant, guitare, tambourin).

DATES

– Le 8 décembre 2022 1ère concert à l’AERI à Montreuil pour la fête de la Sainte Barbe

– Le 27 février 2023 version concert / lecture chantée au Fait Tout à Montreuil

RÉSIDENCES

– du 2 au 8 septembre 2023 à La Générale (Paris), avec sortie de résidence
– du 13 au 16 novembre 2023 au Point Fort d’Aubervilliers, avec sortie de résidence dans le cadre du projet de la FAMDT «Les Battantes»
– du 21 au 28 février 2024 à La Générale (Paris), avec sortie de résidence

Note d’intention

Un peu d’Histoire : « Siamo maschere millenarie !! » (« on est des masques millénaires !! »)

À Florence une place porte ce nom « Piazza della Passera » pour passera (féminin de moineaux), « la moinelle » on entends l’oiseau mais aussi le sexe de la femme. Deux légendes revendiquent l’origine de cette dénomination.

1- On dit que sur cette placette du centre historique de la capitale Toscane, pas trop loin du Palais Pitti où résidait le Grand Duc de Toscane, il y avait une maison close très appréciée par celui-ci…

2- une autre légende raconte qu’à l’époque de la grande peste à Florence (1348) un garçon trouvant une petite moinelle blessée sur la place voulut la secourir et que cela fut le début de la Grande Peste dans la ville….

Cette ‘Passera’ à qui on attribue le nom d’une place, signe de grande importance, au même temps on la relègue à objet d’utilisation sexuelle ou à source de pires dangers, de mort !!!

Parallèlement autours de la question de la virginité ou non, de la fidélité ou non de l’être aimée tourne à peu près le 90 % du répertoire profane des chants de tradition orale et aussi une bonne partie du répertoire religieux . On l’appelle, fleur, œillet, guitare, moineau, hirondelle, lys, colombe….

J’ai décidé de voir qui étaient les héroïnes, les représentantes du gentil sexe les plus chantées.

Peu de reines et de princesses ont passé le casting…mais Saintes, Vierges et simples femmes du peuple ont attirée mon attention pour leur courage ! Tout particulièrement je me suis intéressée à Cecilia, protagoniste d’innombrables chants narratifs tout au long de la péninsule.

Cecilia se sacrifie pour sauver son Peppino qui est en prison et se donne au Capitaine. Le Capitaine la traie et tue le prisonnier….L’histoire est ancienne, c’est l’abus de pouvoir mais aussi la perte de ‘dignité’ de la femme qui est doublement victime du Capitano et de Peppino qui lui demande de se sacrifier. Les solutions sont multiples dans la tradition mais jamais très gaies…

Les choix de Cecilia après la mort de Peppino souvent aspirent à la chasteté tout comme celles de nombreuses Saintes qui, au pris de leur virginité, ont sauvé vies et villes…. mais aussi à la figure la plus importante de la religiosité populaire, la Vierge Marie.

Le répertoire est musicalement merveilleux et trace une place pas facile à défendre pour la femme mais nous ouvre les portes vers d’autres symboles, d’autres figures plus archaïques qui sont sûrement restée pour nous protéger depuis bien plus de temps que la naissance de Christ et la diffusion du Christianisme. Un chemin qui nous conduit de Era aux Parques, aux Sibylles, juste à Cecilia et l’Opéra avec Tosca…en passant par les 7 vierges du Vésuve et les Évangiles apocryphes !!
Un questionnement d’envergure avec comme anges gardiens les poètes Carlo Levi et Pasolini témoins du changement radical qu’a provoqué l’industrialisation dans la réalité culturelle des italiens. Une façon encore comme dans le premier spectacle « E più non canto » de nous questionner sur notre identité profonde ?

Koto Brawa

Esthétique-style
La musique de Koto Brawa est de la Pop Africaine, une fusion entre les musiques Africaines ancestrales avec des instruments traditionnels et les musiques contemporaines électriques. C'est un puissant mélange entre les guitares électriques Rock, le Ngoni et le Balan du Mandingue, le groove Ouest-Africaine, teinté souvent d' accords jazz, sur lesquels se pose sa spéciale voix.

KANTALISO

LA RENCONTRE

L’histoire de KANTALISO a commencé derriè re la grande Mosqué e de Paris. Dans un de ces petits, grands thé â tres qui ont contribué à l’histoire musicale de la France : le thé â tre de la Vieille Grille.
Il s’agit d’une de ces rencontres à l’ancienne : on joue, on entend, on se plaıt̂ et la conKiance est là , l’histoire commence. Autour de l’Italie, car, si Margherita TREFOLONI est bien italienne, dans les vies de Samuel ZUCCA et Guillaume FONTANAROSA l’Italie résonne très fortement, comme leur noms de famille le suggèrent.

C’est de ce mélange d’Italie actuelle e lointaine, d’Italie présente et fantasmée, d’Italie imaginaire et rêvée que les chants de KANTALISO prennent forme. Ils racontent principalement l’amour, l’amor che move il sole e l’altre stelle *, en partant des chants de tradition orale, suivant les traces des grands interprè tes qui ont su s’approprier de la tradition et la faire
ré sonner en eux pour la raconter, pour la ré inventer à travers leur vie : Rosa Balistreri, Caterina Bueno, Matteo Salvatore, Concetta Barra….

Un voyage musicalement poétique dans l’espace et dans le temps.

* dernier vers de la Divine Comédie de Dante Alighieri

À la recherche de ce qui fait vibrer nos corps, nos esprits.
Une musique comme une caisse de ré sonance de nos sentiments ; elle les enracine, les é largit aKin de les partager avec le public.

avec Margherita TREFOLONI : CHANT & GUITARE / Samuel ZUCCA : ACCORDEON / Guillaume FONTANAROSA : VIOLON

Et toute l’Italie se remet à chanter

LE DUO « IL SUFFIRAIT D’UN JOUR DE SOLEIL » – DUO CHANTS & POÈMES ANNA ANDREOTTI & MARGHERITA TREFOLONI

“ Comment raconter l’Histoire, son histoire, celle qui a construit nos parents, grands-parents, celle qui nous a fait aujourd’hui citoyens du monde ?

– En chantant !
– Et puis ?
– En partageant ce qui nous a construit dans l’âme ! – Et c’est quoi ?
– La poésie !!!!"

Et toute l’Italie se remet à chanter! est un spectacle utile, humain parfois éclairant sur notre propre présent de Français, d’Italiens, d’Européens. Un spectacle pour faire découvrir une Italie loin des clichés avec ses rêves et ses contradictions, une véritable approche musicale, poétique et parfois ludique de la culture italienne.

L’Italie adulée dans son passé, mais aussi l’Italie méconnue de son temps présent, parle à travers l’intimité du chant ou la violence de sa révolte. Elle nous guide avec la sincérité lucide des paroles des poètes. Et enfin renaît fragile et émouvante patrie, nation européenne là, juste à la frontière, si proche et si lointaine. Les moments marquants de l’histoire du XXème siècles, les siècles, les guerres, la libération, les luttes ouvrières, les révolutions inachevées, les éternels retours à l’ordre.

Anna et Margherita, nous chantent, chouchoutent avec douceur, véhémence et rage parfois, l’amour déchiré, incompris, mais toujours vivant pour leur terre !!

Spectacle conçu, et interprété par Anna Andreotti et Margherita Trefoloni

Mise en scène : Anne Quesemand

Lumières, régie : Samuel Zucca

Production : Maggese.

Ama chi ti ama

LE DUO « IL SUFFIRAIT D’UN JOUR DE SOLEIL » – DUO CHANTS & POÈMES ANNA ANDREOTTI & MARGHERITA TREFOLONI

À travers des chants de tradition orale et des poèmes d’amour italiens, deux femmes, recouvrant tour à tour le rôle de mères, amantes, épouses, petites filles ou adolescentes vous invitent à la découverte d’une parole franche, libre et passionnée.

Parler d’amour chanter l’amour ! Il suffirait d’un jour de soleil avec ses voix vibrantes de toscanes met en scène le rapport entre le chant italien de tradition orale et la poésie, à travers le prisme de l’amour.

«Nous essayons d’approcher de plus en plus de nos jours pour retrouver les traces du chant dans la poésie et les traces de la poésie dans le chant.

Le duo de voix italiennes traverse les âges de l’amour, les joies intenses, les grandes douleurs, les passions, les amourettes, la naissance du désir, la naissance de l’amour, la vie, la mort. Enveloppées dans un lit “immense prairie abstraite aux saisons comptées”, comme l’appelle la poétesse Armanda Guiducci, Anna
et Margherita nous conduisent dans un univers visionnaire et puissant où le mot Amour règne toujours, pourchassant le mot qui chante et le chant qui parle, Ce n’est pas par hasard que elles ont choisi les chants et les poèmes d’une Italie qui aime. Dans notre société, le manque d’amour autour duquel les chants et les poèmes tournent incessamment, est devenu le mal du siècle.

Nous avons plongé dans cette histoire sans nous l’avouer par peur d’être taxées d’ingénuité. Maintenant ce manque d’amour est devenu notre souffrance actuelle, réelle, physique. Dans ce contexte où on a de plus en plus de mal à nous rencontrer véritablement, nous croyons encore plus que chanter, parler, chanter encore et susurrer, déclamer et fredonner l’amour soit nécessaire ! »

La société moderne explique Roland Barthes « ne prend pas en charge le sentiment amoureux, ce qui fait que, si on a affaire à un sujet amoureux qui a une certaine teinture de culture intellectuelle, et bien ce sujet-là, s’il lui advient de tomber amoureux, va se trouver extrêmement solitaire.

Comme il souffre, il essaiera de s’appuyer sur un langage, une théorie qui le prenne en charge, et, dans l’époque actuelle, il ne trouvera rien. S’il s’agissait d’affirmer une perversion, il trouvera un langage théorique qui l’aidera à se comprendre et à s’affirmer ; mais s’il lui advient d’être amoureux comme au temps de Werther, à ce moment-là, personne autour de lui ne lui répond sauf justement cette culture populaire […] un sujet amoureux aura beaucoup de mal à vaincre le tabou de la ‘sentimentalité’ alors que celui de la sexualité aujourd’hui se transgresse très facilement »

C’est cela « Ama chi ti Ama » : Aime qui t’Aime… une véritable approche «intime» de la culture italienne.

Kenjah David – Flash Culture

DO YOU SPEAK MUSIC?

 ᗐ Des échos de Seggae dans les quartiers populaires de l’ile Maurice, des chants de Mantras aux feux du Gange… un carnaval toutes couleursMartiniquais… un club de live-music entre Cuba et Rio… l’auto-radio d’une 2 CV passant un air de Rumba sur la route Andalouse.

  Kenjah David, auteur-compositeur-interprète,
producteur, parcourt le globe comme sur un vinyle, et il nous emmenne àtravers les paysages de son carnet de voyage..

 𓆉︎ S’accompagnant de sa guitare, cet oiseau imite de nombreux sons, chants méditatifs, avec une voix latine qui s’envole sur du Ska/ Jazz/Funk/ Salsa/ Calypso/ Latin rock.

ᗐ Kenjah David parle couramment et chante en français,
 anglais, japonais, espagnol et le créole mauricien, lui permettant de toucher les publics variés du monde entier. 

ᗐ Les compagnons de voyage musical

 Kenjah David : Chant, guitare, composition.
Sylvain Dupuis : Batterie (Haïdouti Orkestar, Ibrahim Maalouf)
Cizzko : Clavier, accordéon (Négresse verte)
Florian De : Juicy basse 

– Nouvel album prévu à l'automne 2025

ᗐ Collaborations d'artistes notables tels que : 

– Eric Hargrove du groupe "James Brown" – My Linh (diva du Vietnam) – – Papa B – Mamadou Lo – Andrew Frawley.

 ᗐ Participations à des événements notables :

– Emissaire de la musique française au Vietnam, auprès de l'Institut français et de l'Ambassade de France à Hanoi 2020 ~ 2023
– 110ᵉ anniversaire de l'Opéra national d'Hanoï 
– Assemblée générale des Nations Unies, Journée internationale des volontaires à New York 
– Le premier festival international des arts du spectacle du Vietnam 
– TEDX
– Hardrock Café
– La journée internationale de la Francophonie (Asie) 2021.

Duo Chloé Breillot et Pierrick Hardy

En duo, Chloé Breillot (chant) et Pierrick Hardy (guitare) explorent l'univers des musiques lusophones, inspirés notamment par la beauté du fado lisboète et de la chanson brésilienne.
Les morceaux interprétés, choisis pour leur force et leur fulgurance poétique, racontent avec la vérité des chansons populaires le désir et la peine, l'amour, l'absence et le deuil.
Dans ce duo, chant et guitare dialoguent sans hiérarchie, pour revisiter ces compositions à travers des arrangements atypiques. Une promenade en langue originale dans ces répertoires d'hier et d'aujourd'hui, auxquels le jeu chatoyant de Pierrick et la voix saisissante de Chloé donnent un nouveau souffle.
Depuis la création du projet en 2022, le duo s'est produit lors d'une soixantaine de concerts partout en France, dans des festivals comme les Suds à Arles, les Musicales de Mortagne et du Perche, les Arches en Jazz, le Festival de Chaillol, dans des salles comme le Théâtre de Caen, le Théâtre de Nogent-sur-Marne, le Comptoir-Halle Roublot, le Collège des Bernardins, le Carré du Perche, la Maison du Portugal, ainsi qu'à Lisbonne au célèbre "Tasca do chico".
En 2023/2024, ils sont invités par le Conservatoire de Montreuil à réaliser un projet d'une année avec les enfants des écoles de Montreuil.

Leur premier album, Valeu a pena, est sorti le 4 juin 2024.

ANAPNOÏ

ANAPNOÏ, ce sont 3 femmes, 3 voix qui vous transportent le
temps d’un concert au fil de leurs souffles. À travers
l’interprétation originale de chants polyphoniques, le trio
traverse les frontières et tisse avec vitalité un lien vibrant et
rythmé vers nos racines communes.
Dans une recherche portée avant tout sur les sonorités
vocales, AnapnoÏ se joue des frontières. Vous parcourrez
l’Europe, de la Grèce à la Finlande en passant par l’Occitanie,
jusqu’en Géorgie et en Arménie. Un pas de plus suffira même à
atteindre les Amériques !
Avec AnapnoÏ, laissez-vous porter par une évidence : nous
partageons le même souffle.