K-Leaf a vingt ans quand il débarque de Guyane en métropole. Galères et mélancolie l’entraînent vers la guitare et la composition. À l’“école” du métro parisien, il forge une musique qui s’adresse à l’humain, affranchie de toutes les étiquettes imposées aux artistes ultramarins. Son univers éclectique dévoile avec une poésie subtile, une vision différente de sa langue créole.

Élevé aux sons du zouk et du reggae dance-hall, mais aussi de la pop, du rap et des musiques urbaines, il découvre Tété et c’est le déclencheur. Son style tient avant tout à une personnalité solaire et douce, qui a su nourrir sa vocation d’auteur compositeur avec ses tripes et ses couleurs créoles.